La suspension HANIA a un effet visuel hors du commun pour cette pièce exceptionnelle, issue d’un remarquable travail sur la forme, le volume et la matière. Les fils entrecroisés en inox
forment de superbes motifs géométriques répétés. La source lumineuse intégrée au centre de la suspension réfléchit sur le maillage métallique, de plus elle offre un éclairage harmonieux, volumineux et apaisant.
Processus de création
En fouillant dans l’usine Tissmetal, j’ai repéré un autre type de tissage, plus dense avec des fils plats en inox brillants, dont la forme des spires est en losange. L’idée est de reprendre le même principe de façonnage que pour Hilda mais avec une maille aux caractéristiques opposées. Plus difficile à contraindre, du aux fils plus épais, nous nous sommes mis à deux pour l’opération de torsion.
Sa forme plus ovoïde est différente selon l’angle de vue. Bien que le processus de mise en scène de la maille soit le même, le résultat est différent en raison du choix de la maille plus lourde. Grâce aux fils inox épais, plats et brillants, le bandeau led réfléchit la lumière dans la sphère. L’éclairage au final est diffus, doux et apaisant. Filtrés, les rayons lumineux s’échappent et propagent une ambiance aoutée avec des projections graphiques sur les plafonds. Les larges ouvertures ovoïdes sur les côtés permettent un éclairage efficace. Comme un nid douillet, cette suspension nous invite à sortir de notre coquille… pour explorer de nouveaux décors et horizons.
Hania invite au voyage sensoriel
Mon intention de création va ainsi au-delà d’un simple luminaire design…C’est une invitation au voyage sensoriel… Moins large que sa sœur Hilda, je la projette au-dessus d’une table moderne en verre qui reflète la suspension, mais aussi dans une cage d’escalier, dans un coin de salle à manger, dans un hall d’entrée… Comme une œuvre d’art, elle doit être mise en valeur dans la pièce choisie selon l’atmosphère que l’on souhaite apporter.
H 81 X L 61 X l 48 cm – Poids : 7.5 Kg
“Ce n’est pas la lumière qui manque à notre regard, c’est notre regard qui manque de lumière.”
-Gustave Thibon